Xiaomi ambitionne de s’imposer sur la scène internationale avec ses véhicules électriques. Le géant technologique chinois, qui a déjà franchi le cap des 100 000 unités produites en Chine, intensifie ses efforts pour développer sa présence à l’étranger.
Il semble improbable qu’une entreprise comme Xiaomi se limite uniquement au marché chinois. Les aspirations de cette entreprise de Pékin sont clairement révélatrices de son désir d’expansion. Les récents développements en cours confirment cette intention : Xiaomi s’active à former une équipe dédiée à l’export de ses voitures électriques à l’international. Des sources locales rapportent que la société envisage de tester **« plusieurs marchés »**.
Xiaomi bientôt en Europe ?
La mise en œuvre d’une stratégie d’expansion internationale apparaît comme une priorité pour Xiaomi. La marque est à la recherche de nouveaux talents pour occuper divers postes tels que l’analyse de marché, la gestion de projets et l’ingénierie après-vente au sein de sa division automobile. Cette équipe envisagée aura pour mission d’explorer les **procédures de conformité** pour intégrer les technologies de conduite autonome dans leurs véhicules.
Ce projet d’internationalisation est facilité par la forte présence de Xiaomi à travers le monde, avec près de 100 points de vente dans des zones stratégiques. En particulier, la marque s’est bien implantée en Europe, au Moyen-Orient et en Amérique du Sud. Comparativement à d’autres fabricants automobiles chinois, Xiaomi possède une compréhension plus fine des marchés étrangers grâce à son expérience sur le plan international.
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En outre, le constructeur de smartphones jouit d’un dynamisme remarquable. En seulement six mois, il a réussi à produire plus de 100 000 unités de sa berline électrique. Au regard de cette efficacité et du succès rencontré par la SU7, il n’est pas démesuré de penser que la marque pourrait envisager d’exporter sa gamme d’ici **2026**. En Europe, son plus grand défi consistera à **modifier l’image** perçue de ses produits, souvent identifiés comme « bon marché » ou même « bas de gamme ».
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