Rentabilité du métier de coursier pour arrondir ses fins de mois

Être coursiers pour arrondir ses fins de mois, est-ce rentable

La flexibilité du métier de coursier

En plein essor, le métier de coursier attire de plus en plus de personnes, que ce soit pour en faire une activité à plein temps ou pour compléter ses revenus. La possibilité de choisir ses heures de travail et de concilier ce métier avec d’autres obligations en fait une option séduisante pour beaucoup.

L’un des points forts de cette profession est sa flexibilité. Les coursiers ne sont pas tenus de travailler à temps plein et peuvent adapter leurs livraisons à leur emploi du temps. C’est une configuration particulièrement avantageuse pour ceux qui mènent des études parallèlement. Par exemple, de nombreux étudiants utilisent des plateformes comme Uber Eats ou Delivroo pour gagner de l’argent en plus de leurs études.

Il faut toutefois noter que la régularité et la fiabilité sont des qualités prisées dans cette profession. Un coursier qui fait preuve de constance dans ses livraisons verra sa cote de popularité augmenter, ce qui peut se traduire par des gains supplémentaires.

Les simplicités d’accès à la profession

Pour devenir coursier, aucune compétence académique particulière n’est requise. Le principal prérequis pour s’inscrire sur les différentes plateformes est d’être majeur et de se constituer un statut d’indépendant. Pour ce qui est des outils de travail, un moyen de déplacement et un smartphone suffisent.

L’inscription sur les plateformes est généralement simple et rapide, avec des informations basiques à fournir comme le nom, le prénom, l’adresse mail et la ville de résidence. Certaines plateformes peuvent demander des informations supplémentaires, mais dans l’ensemble, le processus reste accessible à tous.

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Un salaire attrayant

Les coursiers sont généralement payés à l’heure par les entreprises de livraison à domicile. En outre, ils peuvent recevoir des primes en fonction de la qualité et de la quantité de leur travail. Par exemple, chez Stuart, un coursier peut gagner 9 € de l’heure en s’inscrivant à l’avance sur la plateforme, avec la possibilité de toucher 75 % du chiffre d’affaires d’une livraison acceptée spontanément.

Chez Uber Eats, la rémunération prend en compte la distance parcourue par le coursier, à raison de 1,40 € par kilomètre. Du chiffre d’affaires brut sont déduites les charges sociales, qui s’élèvent à environ 23 % pour les moins de 26 ans et 6 % pour les plus âgés. Certains plateformes garantissent un revenu minimum mensuel à leurs coursiers actifs.

Allier le métier de coursier à d’autres activités peut nécessiter une certaine détermination et de faire certains sacrifices. Mais avec une implication certaine, on peut augmenter ses revenus et améliorer ses fins de mois.

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Gilfoyle

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