Enfin une batterie solide ? Le chinois Great Power l’assure
Dans le milieu de l’énergie, essentiel au fonctionnement et à l’efficacité des véhicules électriques, le chinois Great Power vient de jeter un pavé dans la mare en assurant avoir réussi à développer une innovante batterie solide. Attendues pour 2030, l’entreprise chinoise accélère le calendrier avec une commercialisation de masse prévue pour 2026 d’une batterie d’une densité de 280 Wh/kg qui se recharge plus vite et dure plus longtemps, pour à peine 15% de coût supplémentaire. L’entreprise va-t-elle réussir là où tout le monde semble échouer ?
Michael Jordan achète une Pininfarina La Battista Targamerica
Présentée lors de la CarWeek cet été 2024, la Pininfarina Battista Targamerica est une édition unique de la supercar électrique de 1900 chevaux. L’auto est un projet personnel réclamé par la star du basket Michael Jordan, grand passionné d’automobiles. L’auto est reconnaissable à son absence de toit (compréhensible vu la taille imposante du bonhomme) et une teinte Liquid Silver aux accents “Iconica Blu”. Grand amateur de cigares, l’intérieur intègre même un compartiment avec humidificateur. Le pinacle du luxe et de la personnalisation !
Uber et BYD s’associent Un renouvellement de flotte nécessaire
Le géant du VTC vient de s’associer au groupe automobile chinois BYD dans le cadre d’un contrat pluriannuel dont le but est le renouvellement et l’électrification de la flotte de véhicules, sur tous les marchés dans le monde sauf les Etats-Unis (un partenariat existant déjà avec Tesla). BYD utilisera l’écosystème Uber afin de développer son futur véhicule autonome. En contrepartie, Uber qui souhaite bannir les moteurs thermiques de sa flotte d’ici 2030, compte donc sur le constructeur BYD afin de mettre à disposition 100,000 véhicules électriques avec des conditions d’accès préférentielles pour les chauffeurs VTC, accélérant le renouvellement de leur parc automobile.
Chez Opel, électrique et thermique se valent Une égalité à la facture
C’est au Royaume-Uni qu’Opel vient de mettre en œuvre la première véritable parité des prix pour un modèle, que vous choisissiez la version thermique, hybride ou électrique. En effet, le tout dernier Opel Frontera est vendu au même prix de 23,495 livres sterling, peu importe la motorisation choisie (à finition égale, évidemment). Habituellement, les modèles à batterie sont plus chers que leur équivalent thermique. Reste à voir si cette situation britannique pourrait se produire ailleurs en Europe, et si elle a vocation à se développer sur d’autres modèles. Nous l’espérons !
Mini et Tesla : le rappel Risques d’incendie et logiciels défectueux
Les campagnes de rappels sont monnaie courante dans le monde automobile et ne devraient pas nous inquiéter plus que ça. En revanche, compte tenu de l’actualité enflammée sur les risques d’incendie des VE, le rappel opéré par MINI est plus parlant : 140,000 véhicules dans le monde entier rappelés pour un risque d’incendie de la batterie, même à l’arrêt. Mieux vaut prévenir que guérir. Parallèlement, Tesla rappelle environ 27,000 CyberTruck pour cause de logiciel défectueux de la caméra de recul, avec une mise à jour corrective d’ores et déjà disponible.
La taxe contre la Chine adoptée L’UE a décidé
Voici la probable fin d’un feuilleton qui dure depuis un moment : celui de la taxation éventuelle des véhicules électriques en provenance de Chine via une augmentation des droits de douane. L’Europe a décidé d’officialiser cette taxation. Pourtant, seulement dix pays sur 27 ont voté pour (France, Italie notamment), douze se sont abstenus et cinq pays ont voté contre, dont l’Allemagne ou encore la Slovaquie. En effet, l’Allemagne entretient des liens forts avec la Chine multipliant les partenariats. Reste à voir quelle sera la réponse de l’Empire du Milieu.
La Hyundai N Vision 74 sera commercialisée Une bonne nouvelle
Sortir des sentiers battus est toujours une bonne chose, quoiqu’il advienne. C’est ce qu’a choisi de faire Hyundai en officialisant la commercialisation du concept Hyundai N Vision 74, qui avait tant plus aux passionnés. Inspiré du dessin de la Hyundai Pony Coupé de Giugiaro en 1974, le concept se veut néo-rétro et particulièrement fun. Ce modèle devrait voir le jour d’ici 2030 au sein de la gamme électrique du constructeur coréen, ajoutant ainsi une nouvelle sportive électrique au catalogue, alors même que sa production en série avait été initialement démentie. Après tout, seuls les imbéciles ne changent pas d’avis !
Tesla Cybercab Le véhicule autonome tant attendu
Longtemps attendu, le groupe américain a enfin levé le voile sur un projet interne particulièrement important : le Cybercab. Nous l’attendions sous le sobriquet de Robotaxi, mais qu’à cela ne tienne, le petit véhicule deux places aux portes papillon inspiré du Cybertruck est 100% électrique et… autonome. Ni volant, ni pédale mais un immense écran à l’intérieur et la recharge par induction intégrée, son prix est déjà fixé par Tesla : 30,000 dollars. L’auto devrait être commercialisée en 2026 aux Etats-Unis, un pays qui accepte la conduite autonome dans certains cadres spécifiques.
Renault Twingo E-Tech Le prototype dévoilé
Dévoilé dans le cadre du Salon de l’Auto de Paris, le prototype électrique de la marque au losange est particulièrement mignon, notamment sa face avant qui évoque de façon nostalgique l’ancienne Twingo. Ce concept incarne la volonté de Renault de combattre les véhicules électriques chinois, à la fois sur le terrain du prix mais également du design. Le proto préfigure la petite citadine Twingo e-Tech prévue pour 2026 et qui devrait être commercialisée à un prix avoisinant les 20,000 euros. Tout sera fait afin de réduire les coûts, comme partager 70% de pièces avec sa sœur la Renault 5.
Tesla, la valse des dirigeants De nombreux départs
Le turnover au sein d’une entreprise n’est pas forcément un signe de mauvaise santé, bien au contraire. Mais chez Tesla, nous remarquons que de très nombreux dirigeants haut-placés quittent l’entreprise (environ 8 rien qu’en 2024), au point qu’il n’y ait désormais que trois cadres dirigeants. Envies de nouveaux horizons, culture d’entreprise exigeante ou projets trop nombreux et ambitieux, ces départs ont eu lieu avant la présentation du Cybercab, comme pour envoyer un message de défi à la direction. Certains retrouvent du travail au sein des autres sociétés d’Elon Musk, preuve qu’il n’est peut-être pas la cause de tout ça.